Le 19 février, Sandrine Roubin a plaidé devant l’une des chambres sociales de la Cour d’Appel de Paris un important dossier mettant une nouvelle fois en jeu la situation très spécifique du salarié expatrié dont le contrat de travail local est rompu ; est notamment en cause dans cette affaire la notion d’obligation de reclassement incombant à la société-mère à l’issue du détachement du salarié au sein de la filiale étrangère, tant dans son étendue que dans ses contours ; l’est aussi la définition du salaire devant alors servir de base au calcul de chacune de ses indemnités de rupture, à savoir le salaire d’expatriation, dans toutes ses composantes.